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BIO FERDINAND OYONO (Une vie de boys)

INTRODUCTION

 La littérature est le miroir de la société qui reflète la vie politique et la vie culturelle de cette société donnée. Selon Le nouveau Petit Robert (2007) « la littérature est les œuvres écrites dans la mesure où elles portent la marque de préoccupation esthèques, les connaissances, les activités qui s’y rapportent ». Nous avons les différentes types de la littérature comme : la littérature française, la littérature africaine, la littérature antillaise.

  Dans ce mémoire, nous aimerions concentrer sur la littérature africaine. Balogun Léon Iyanda dans son œuvre intitulée « Initiation à la littérature africaine d’expression française » définit la littérature africaine comme « l’ensemble des cultures, des mœurs des civilisations, des pensées et des sentiments du peuple noir d’Afrique ». Dans ce travail, nous aimerions étudier les thèmes dans le roman Une vie de Boy de Ferdinand Oyono. Nous les avons catégorisées en deux, les thèmes principaux et les thèmes secondaires sont. Les thèmes principaux sont : la discrimination, l’infidélité, l’oppression et l’hypocrisie. Les thèmes secondaires qui sont :   la beauté, l’injustice et la paresse. Mais d’abord nous allons étudier les personnages principaux comme : Toundi, le commandant, Madame Decazy et Monsieur Moreau, parce que les thèmes du roman les font allusion.

    Le roman est une histoire de mœurs du Blanc, c’est une critique de la période de la colonisation, fait par Ferdinand Oyono. Il nous raconte la vie que les pays africains ont subie, l’oppression, l’injustice et la discrimination pratiquées par le maître colonial blanc sur le prétexte d’une « mission civilisatrice » en utilisent son pays le Cameroun, comme arrière plan.    

TABLE DES MATIÈRES

TITRE                                    i

APPROBATION                              ii

DÉDICACE                                    iii

REMERCIEMENT                           iv-v

TABLE DES MATIÈRES                        vi-vii

INTRODUCTION                                1-2

CHAPITRE 1 : BIOGRAPHIE DE FERDINAND OYONO    3

1.1  L’homme                             3-6

1.2    L’œuvre                             6-7

1.3    Le résumé d’une vie de Boy                  7-11

CHAPITRE 2 : LES PERSONNAGES PRINCIPAUX       12

2.1 Toundi                              12-13

2.2  Le commandant                           13-14

2.3  Madame Decazy                           14-15

2.4  Monsieur Moreau                         15

CHAPITRE 3 : LES THÈMES PRINCIPAUX          16

3.1 La discrimination                           16-19

3.2  L’infidélité                                19-22

3.3  L’oppression                            23-25

3.4  L’hypocrisie                                25-28

CHAPITRE 4 : LES THÈME SECONDARIES           29

4.1 La beauté                               29

4.1.1   Sophie                              29-30

4.1.2    Madame Decazy                           30-31

4.2  L’injustice                             32-33

4.3  La paresse                              33

4.3.1   Madame Decazy                           33-34

4.3.2    Le Docteur Blanc                            34

L’OBSERVATION PERSONNELLE               35-36

LA CONCLUSION                            37-38

LA BIBLIOGRAPHIE                         39

BIOGRAPHIE DE FERDINAND OYONO

1.1   L’homme

   Ferdinand Oyono est né le 14 septembre 1929 à Ngoulema-kong, située près d’Eboowa à 160km au sud de Yaoundé (Cameroun) les importants aspects qui ont influencé sa vie comprend trois catégories. Le milieu familial, la formation intellectuelle et la carrière diplomatique.

Le milieu familial

   Ferdinand Léopold Oyono est le fils d’Oyono Etoa Jean. Un illustré et authentique fond du village de Ngoazip dans l’arrondissement de Ngaillema-kong de Mvando Polinga Agnès, la fille d’un chef supérieur bien connu, Beling Ekodo. Ils ont deux enfants, Ferdinand et sa sœur Elisabeth.

La formation intellectuelle

  Ferdinand Oyono s’est inscrit à l’école d’Ebolowa en 1934. Après avoir essayé le C.E.P.E deux fois de suite en 1944. Ferdinand ne pas qu’un à peine au concours d’entrée d’Ebolawa, puis qu’il est reçu bientôt au concours supérieure de Yaoundé où l’on dira d’ailleurs que c’est la que s’est achevée la période de son enfance, c’est la vie en dehors du foyer paternel. C’est aussi la présence active affectueuse et néanmoins sévère de la mère. C’est encore celle des amis et sympathisants, parmi les quels les prêtres de la paroisse d’Abang située dans le quartier résidentiel d’Ebolowa. Le nom de l’abbé Pierre Ngote mérite d’être mentionné. Il faut ajouter que Ferdinand Oyono avait été baptisé et conformé des son enfance.

    Ce qui caractérise encore l’enfance de l’auteur de chemin d’Europe, c’est la connaissance du milieu urbain où il a grandi, parcourant les rues, flânant avec les autres garçons de son âge à longueur de journée, malgré la vigilance et la main de fer de sa mère. Pour suivra sa formation intellectuelle au niveau du secondaire successivement à l’école supérieur de Yaoundé puis au lycée de Nkongsamba, il avait achevé sa formation en France dans un lycée de province. En 1946, il est admis à l’école supérieure du Yaoundé. Il s’embarque aout 1950 et arrivé en France, s’inscrit en classe de seconde dans un lycée de province, petit ville de sein et marne. Deux ans après, en 1952, c’est un nouvel échec à la première partie du baccalauréat. L’étape est cependant franchie en 1953, puis, la grande victoire arrivée en fin 1954 avec le succès à la deuxième partie. Après il entre en Sorbonne et suit les cours de droit et de sciences politiques, son cycle, normal achève, il rentrer dans son pays.

La carrière diplomatique

   Des son retour au Cameroun, Ferdinand Oyono est nommé directeur du Bureau d’étude à Yaoundé mais des 1960 commence sa carrière de diplomate. En 1960, il est nommé attache d’ambassade à Paris, ambassadeur du Cameroun pour le Guinée, le Ghana et le Royaume du Maroc en 1962. De 1962 à 1965 il était ambassadeur au Libéria. En 1965 à 1969 ambassadeur pour les pays du Benelux et de la marche commune. En 1969 à 1975 ambassadeur de la République du Cameroun en France, Italie, Tunis, Maroc et Algérie avec résidence à paris. De 1995 à 1996, il était ministre au Cameroun.

   En conclusion Ferdinand Oyono a trouvé sa mort, le jeudi 10 juin 2010 à Yaoundé, à l’âge de 80 ans victime d’un malaise à l’issue d’une secrétaire générale des Nation Unies, Banki-moon, au palais d’Etoudi, il s’est effondré devant la voiture qui de vait le réaccompagner chez lui et s’est étaient alors qu’on le Transportait vers l’hôpital général.

 
 
 

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